D’avril à novembre, la Scène Faramine accueille des compagnies de spectacle vivant en résidence de travail pour leurs créations en danse, théâtre ... Dans un studio de travail de 50m2, les artistes vous accueillent en fin de semaine pour présenter des extraits de spectacle.
Entrée libre, sur réservation sur Helloasso ou à faramine89@gmail.com ou au 06 23 19 40 19.
Découvrez les interviews des artistes sur la chaine Youtube et la page FB de la Scène Faramine
Les résidences artistiques de la Faramine
Présentations publiques d’étapes de création
Portfolio
Agenda
Prochainement
Vendredi 7 juin de 18h00 à 19h00
Sortie de résidence « Un caprice de Bonaparte » Cie Avril enchanté
UN CAPRICE DE BONAPARTE de Stephan Zweig, mise en scène d’Olivier Nolin, avec Juliette Freitas et Zacharie Jordil.
Dans cette très belle pièce, Stefan Zweig brosse, du côté du puissant et de celui qui le subit, la logique de hors la loi inhérente aux détenteurs de pouvoirs importants.
1798, l’expédition d’Egypte. Bonaparte séduit Pauline Fourès,(dite Bellilotte) l’épouse loyale d’un lieutenant de son armée. Devenu Premier Consul, il la délaisse à la veille de marcher à nouveau sur l’Italie. Le mari bafoué tente de provoquer un scandale... D’un drame conjugal et vrai, vite étouffé par Fouché, le ministre de la Police, Zweig tire une réflexion magnifique sur les abus du pouvoir personnel.
Vendredi 14 juin de 19h00 à 20h00
Sortie de résidence « Infimes océans » Cie Eidola
Infimes Océans est le Tome 1 d’une série intitulée Dans l’obscure chambre claire qui mêle arts et sciences et s’intéresse au monde vivant. C’est une expérience sensorielle et immersive, une plongée dans le monde des micro organismes planctoniques, créée en dialogue avec deux chercheuses
océanographes du CNRS (Marina Lévy et Melilotus Thyssen).
Bains sonores, poétiques et sensoriels embarquent les spectateur.rice.s dans des voyages à la rencontre du monde marin microscopique, berceau du vivant sur Terre. La pièce cherche à renouveler notre représentation du vivant et du biologique. Elle tente une expérience de diffusion de connaissances qui mobilise autant l’intellect que le sensible et favorise une approche de la science par l’imaginaire, l’artistique et le sensoriel.
S’appuyant sur une série d’entretiens menés avec des personnes déficientes visuelles, le spectacle fait appel aux modes de perception associés à la cécité (ouïe, toucher, kinesthésie, représentation mentale) et se veut entièrement accessible pour des personnes non ou mal voyantes.
