Olivier me raconte comment il a eu, d’un ami qui partait en retraite, un formidable fonds photographique des années 50-60 sans légende dans lequel il puise les images dont il a besoin pour réaliser ses collages.
Il aime ne pas tout expliquer, mais suggère différentes pistes, que tel ou tel détail raisonne avec un autre ou avec le lieu dans lequel l’image est collée. Quand des passants lui demandent ce que cela signifie, il retourne toujours la question pour demander « Et vous, vous en pensez quoi ? ». Du coup, le dialogue démarre, l’échange à lieu sans vérité révélée, chacun faisant le voyage qu’il a envie de faire. Chacun repart avec un peu…